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| Illustration de Lynako (Lien de son DA). Bienvenue ! Vous êtes tombés sur mon blog qui me permettras de publier ma fiction. Je rappelle donc que ce serra une fiction, ceci veut dire que tout ce que j'écrirais ne serras pas la réalité. Si vous souhaitez que je vous prévienne pour la suite de ma fiction, commentez donc cet article.
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NEWS !
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«Et si du jour au lendemain vous vous réveillez dans un autre monde, avec les mêmes personnes
qui vous entourent sans cesse mais sans jamais savoir les liens qui vous unissent à eux...
Et si tout ce que vous pensiez être la vérité n'était qu'illusion ?»
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vendredi 2 novembre 2012
Présentation.
Chapitre 1.
Je me rappellerais toujours de cette nuit…
Je n’avais plus de cigarettes et lorsque je n’ai plus
rien à fumer je deviens
particulièrement nerveuse, c’était bel
et bien ce que les gens appellent une addiction. Devant ce problème, j’ai
décidée d’aller m’acheter un paquet à l’épicerie de nuit qui est située juste à
côté de chez moi. Je sais, la vente de cigarettes est normalement interdite
dans ce genre d’établissement mais connaissant le propriétaire ça passait
toujours.
J’enfilais donc une veste et descendis les escaliers. Une
fois en bas je pouvais entendre les hurlements de mon petit frère Joshua, cela
était tout à fait normal il avait dû perdre à une partie de son jeu vidéo du
moment. A peine avais-je mis un pied dehors que ses cris s’apaisèrent. Il faisait
assez doux pour un soir d’automne et je marchais lentement en direction de ma
quête principale ; m’acheter des clopes.
Arrivée sur place, Claus, le
propriétaire me salua, devina directement le pourquoi de ma venue et me
servit comme à son habitude. Lorsque je sortis, une sensation bizarre me
traversa, j’avais crue apercevoir deux ombres distinctes dans la remise de la
boutique. Mais j’essayais tant bien que mal à me convaincre que cela était dû
au manque de tabac et m’empressa donc d’allumer une cigarette pour oublier
cela.
A mesure qu’elle se consumait, j’entendais des bruits provenant de la
cour située à l’arrière de l’épicerie. Je tirais de plus en plus sur ma clope
tout en essayant de me calmer, de me persuader que c’est un chat ou un chien
qui fait ce raffut. Tout redevins calme un court instant jusqu’à ce qu’un bruit
de métal froissé m’arrive aux oreilles, c’était clair ce n’était point un
animal. Étant curieuse de nature, je décidais de me rapprocher peu à peu, pas à
pas. Tous ses sons devenaient plus clairs jusqu’à ce que je puisse entendre
distinctement deux voix visiblement masculines.
Ag. : - Ça sert à rien de le laisser se casser, t’as pas
envie qu’il aille tout balancer, non ?
Ez. : - Ouais je sais, t’as raison comme d’hab mais on va pas
faire ça ici pense à Claus, bordel !
Ag. : - On s’en fout, je crois qu’on est arrivés à un point de
non-retour.
Peu après cette discussion il y eut un court moment de
silence, et une lourde détonation s’est faite entendre. Sur le coup, j’étais
paniquée ; j’ai tout d’abord pensée à appeler la police. J’ai donc
déverrouillé le clavier de mon téléphone portable quand il se mit à sonner
d’une sonnerie stridente, signe évident que je n’avais plus de batterie. En premier temps j'ai haï mon portable de se décharger aussi rapidement avant de vite
revenir à la réalité, j’étais clairement dans un bordel monstre. J’essayais de
passer inaperçue en me glissant lentement contre le mur. Quand soudain, une
main surgit et m’attrapa violemment. En face de moi se dressait un homme d’une
trentaine d’année aux cheveux courts. Il n’hésita pas à me plaquer contre le
mur.
Ag. : - C’est qui elle ? Elle a tout vu !
Euris : - Non, c’est faux ! Je n’ai rien vu du tout,
d’ailleurs je ne vois toujours rien !
J’aperçus un homme a terre, c’était sans aucun doute leur
victime. L’autre homme ne bougeait pas, il restait silencieux comme s’il
cherchait un moyen de mieux agir. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé dans ma
tête mais j’ai priée pour qu’un miracle se produise, n’importe lequel, quel
qu’en soit sa forme… C’est alors que j’ai entendu la porte à l’arrière de
l’épicerie s’ouvrir, ça ne pouvait être que Claus.
Claus : - Je vous avais dit d’être discret les gars, vous
allez réveiller le quartier bordel ! Agé qu’es ce que tu fous ?
Ag. : - Cette meuf a captée que…
Claus :- Euris ?!?
Le second homme s’approcha doucement de moi, et un frison
glacial me parcourra les veines. J’avais peur, je sentais clairement que ce
garçon ne me voulais aucunement du bien.
Ez. : - Agénor, laisse tomber c’est Euris !
Franchement tu pourrais pas être à l’heure au moins une fois dans ta
vie ma petite ?!
Agénor: - Tu la connait Ezreal ?
Ezreal : - Ouais, elle est de notre côté.
Euris : - C’est faux je le connais pas moi lui !
Ezreal : - Et si tu fermais ta gueule un peu je te sauve la vie ma
petite...
Claus me fit signe de me taire, et ayant entièrement
confiance en lui je me tu.
Agénor : - Mais ça m’explique pas qu’es ce qu’elle vient
mettre son cul ici ! C’est qui au juste ?
Ezreal : - C’est une ancienne amie, elle est très bonne...
Excédée de ce qu’il venait de me dire, je l’arrêtais en plein
milieu de la discussion en le giflant.
Ezreal : - …En tir.
Agénor : - En tir ? Je veux bien voir ça moi !
Ezreal : - C’est-à-dire qu’elle ne peut pas maintenant… Elle s’est
cassée le poignet la dernière fois.
Agénor : - J’ai dit que je voulais voir… J’ai pas précisé quand.
Dans une semaine, voilà j’ai précisé.
Ezreal : - Une semaine ???
Agénor : - C’est bien ce que j’ai dit, non ? Bon courage ma
belle ! »
Je n’avais absolument rien compris de toute cette
discussion, du tir ? J’avais étais forte en tir à l’arc étant plus jeune,
mais je ne pense pas qu’ils parlaient de cela. Et pourquoi m’avait-il souhaitée
bon courage, j’avais l’impression qu’il savait clairement ce que l’autre me
préparait…
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